A lire

Trop de gens parlent de l’islam sans avoir lu les textes fondateurs : il faut lire d'abord et juger ensuite. Ce site s'adresse aux croyants et aux non-croyants. Il ne soutient aucune religion ou parti. Il n'est pas contre Dieu mais contre les excès de toutes les religions. Il rejette l'intégrisme non les croyants modérés qui en sont aussi victimes. Ce site est CONTRE LE RACISME. L'islam n'est pas une race mais une idéologie politico-religieuse. Ce site n'est pas islamophobe mais islamo-REALISTE. Il s'appuie sur les FAITS HISTORIQUES. Les CITATIONS EXACTES SANS INTERPRETATION sont écrites noir sur blanc dans le Coran. Ce site expose l'exégèse (analyse) faite par de nombreux IMAMS et SAVANTS de l'islam. Ce site ne se moque pas de l'islam : ce qui se passe dans le monde à cause de l'islam est trop grave pour en rire. Ce site est CONTRE LA HAINE. Les seuls appels au meurtre que vous trouverez ici sont ceux contenus dans des versets du Coran.

Les fruits de l'islam

On juge l’arbre à ses fruits. Quels sont les résultats pratiques de l’idéologie politique et culturelle de l’islam ? Quels fruits l’arbre a-t-il donnés ?

L’islam est une civilisation complète qui rejette comme inférieurs tous les aspects de la civilisation kafir (celle des infidèles).

Ce qu’on appelle l’âge d’or de l’islam est une affirmation selon laquelle l’islam est la civilisation supérieure. Le Coran professe que les musulmans sont les meilleurs d’entre les nations (1). Comment la meilleure des nations se compare-t-elle aux autres en termes de politique, d’économie et de culture ?

Pour l’islam, le Coran est le livre parfait et il délivre la doctrine politique et sociale parfaite qui rendra les musulmans supérieurs aux koufar (pluriel de kafir). Il faut garder à l’esprit que le Coran est la transcription parfaite de l’esprit d’Allah, le dieu infiniment intelligent, de sorte que les musulmans devraient être les leaders absolus dans les domaines de la connaissance et des idées. L’islam est l’idée la plus parfaite qui puisse exister.


La connaissance

Les Nations unies ont créé une série de quatre rapports qui mesurent la société arabe. Aujourd’hui, les Arabes ne représentent qu’une minorité des musulmans, mais il existe peu de données sur l’islam en tant que civilisation globale et il faudra donc que les Arabes représentent la totalité de l’islam. Ils sont les plus anciens des musulmans, et l’Arabie saoudite peut prétendre au titre de plus parfaite des nations islamiques. Mahomet venait de là-bas, et le Coran porte un intérêt particulier à la tribu des Koraish et aux Arabes en général. Les Arabes ne constituent dont pas une mesure parfaite, mais ils représentent la meilleure possible.

Aujourd’hui, le support le plus utilisé pour faire circuler l’information est Internet. Environ 48 % de la population d’Angleterre y est connectée, contre 2 % de la population d’Arabie saoudite (2). Les nations à hauts revenus ont 380 ordinateurs pour 1000 habitants. Les nations arabes en ont 20. Dans le monde entier, il y en a 80 pour mille.

Mais le musulman n’éprouve pas beaucoup le besoin de rechercher des informations sur Internet. « Dès la petite enfance, l’enfant [arabe] s’habitue à réfréner ses tendances à poser des questions et à explorer » (3).

Le cursus scolaire « semble encourager la soumission, l’obéissance, la subordination et l’observance plutôt que la pensée libre et critique » (4). Ce défaut de pensée critique se traduit dans les brevets. Sur une période de 20 ans, l’Arabie saoudite a obtenu 171 brevets, contre 16 328 pour la Corée du sud (5). C’est une conséquence naturelle du financement des activités de recherche et développement. La Suède dépense 3,1 % de son PNB à la recherche, alors que les états arabes y consacrent 0,2 % (6). Par million de citoyens, la Suisse compte 79,9 articles scientifiques fréquemment cités. L’Arabie saoudite en compte 0,07 (7), ce qui signifie concrètement qu’elle a publié 1 seul article fréquemment cité par d’autres.

On ne connaît aucun indicateur faisant apparaître ne serait-ce qu’une zone de supériorité par rapport à la culture kafir, sauf celui-ci : les livres publiés sur la religion. Le monde, dans son ensemble, consacre environ 5 % de ses livres à la religion, mais dans le monde arabe la proportion passe à 17 %. Comparativement aux koufar, les pays arabes islamiques publient 340 % plus de livres consacrés à la religion alors qu’en général, dans tous les autres domaines, ils ne contribuent qu’à environ 10 % de l’activité intellectuelle.

Depuis 1200 ans, seuls 10 000 livres ont été traduits en arabe. C’est moins d’un livre par an sur tous ces siècles. Par comparaison, l’Espagne traduit en espagnol 10 000 livres par an (8). La soif de connaissance se mesure dans le fait que, sur la période de cinq ans allant de 1970 à 1975, il n’a été traduit que 330 livres par an en moyenne. En ce qui concerne les publications scientifiques, les pays industrialisés produisent environ 6 articles pour dix millions de citoyens, alors que les pays arabes en produisent environ 0,1 pour dix millions (9).

Ce n’est pas que les pays koufar soient tellement meilleurs que les pays musulmans : c’est que les nations islamiques sont terriblement pires. La philosophie intellectuelle islamique consiste à suivre Mahomet de manière réflexe, mécanique, et cette pratique conduit à une compétitivité intellectuelle inférieure à la moyenne. Même en matière de religion, un musulman n’est pas censé poser des questions difficiles ou défier l’imam.


L’efficacité du gouvernement arabe

Le rapport de l’ONU comporte une mesure appelée « indicateur d’efficacité et de corruption gouvernementale ». Cet indicateur utilise plusieurs centaines de paramètres, issus de 25 sources fournies par 18 organismes différents, pour mesurer la manière dont est perçue la gouvernance.

Une enquête a montré que 61 % des sujets qui répondaient avaient connaissance de faits de favoritisme et 50 % connaissaient des exemples de corruption utilisés par le pouvoir au cours de l’année précédente. De plus, le favoritisme et la corruption sont les meilleurs moyens d’éviter une sanction (10).

Voice and Accountability est un ensemble d’indicateurs mesurant les droits civils et politiques. Pour l’Amérique du nord, sa valeur est de 1,3. Pour les gouvernements arabes, il est négatif, à -1,2 (11). C’est plus mauvais que l’Afrique, qui est habituellement au bas de la liste, quelle qu’elle soit.

L’indicateur de stabilité politique mesure la probabilité d’un renversement du gouvernement. En Europe, cet indicateur est à 0,7 ; dans les états arabes, il est à moins 0,8 (12).

L’index d’efficacité gouvernementale mesure la qualité des services. Il est à 1,7 pour l’Amérique du nord et il est négatif, à -0,6, pour les états arabes (13).

L’indicateur d’état de droit apprécie dans quelle mesure les lois inspirent confiance et sont respectées. Il a une valeur de 1,7 en Amérique du nord et de moins 0,4 sous les gouvernements arabes (14).

L’indicateur de contrôle de la corruption mesure l’étendue de la corruption. Il est à 1,8 pour l’Amérique du nord et sa valeur est négative (-0,4) pour les états arabes (15). Seule l’Afrique fait pire.

Ces niveaux de corruption et d’incompétence ne devraient pas surprendre. C’est Mahomet qui a défini l’éthique et la philosophie du gouvernement. C’était un chef de tribu, et il agissait en tyran absolu. Il a conseillé à ses fidèles de tuer, de mentir et de tromper pour instaurer un gouvernement. La violence était utilisée pour contrôler les adversaires. Il dispensait des faveurs en fonction de ses besoins du moment. Il y avait des plaintes sur la manière dont il donnait de l’argent à ses favoris, dont sa famille. Quiconque s’opposait à lui était assassiné. Mahomet donnait de l’argent à ceux dont il pensait que cela les ferait pencher en faveur de l’islam. Il utilisait l’argent pour acheter l’influence. En quoi serait-ce surprenant de constater que les musulmans recourent au favoritisme et à la corruption comme méthodes de gouvernement ? Mahomet l’a fait, la corruption est la Sunna. Le fruit ne tombe pas loin de l’arbre.


Le développement humain

L’ONU définit le développement humain par la meilleure utilisation possible des capacités individuelles et des circonstances économiques, politiques et sociales qui se présentent. Il paraît logique de penser que les meilleures des nations doivent permettre le plus grand développement humain.

Les sociologues utilisent un indice, l’indice de développement humain (HDI), qui mesure l’espérance de vie, la formation, la liberté et la richesse. Le meilleur score est zéro et le pire est 100. Le score HDI de l’Amérique du nord est de 8, celui des états arabes est de 75 (16).

L’ONU utilise aussi un score de liberté, qui varie du pire (0) au meilleur (1). Le score de liberté est de 0,9 en Amérique du nord, et de 0,15 dans les états arabes (17).


Les femmes

Les états arabes ont l’un des plus faibles taux d’éducation des femmes au monde, et la plus faible proportion au monde de femmes gagnant un revenu. Dans les états arabes, « la moitié des femmes sont illettrées, mais seulement le tiers des hommes » (18). Le taux d’illettrisme du monde arabe est plus élevé que la moyenne mondiale et plus élevé même que dans les nations en développement » (19).

Les nations arabes ont la plus faible proportion au monde de femmes gagnant un revenu, avec 33 %, moins encore qu’en Afrique subsaharienne (20).

En ce qui concerne la proportion de femmes au parlement, les Arabes ont le plus faible pourcentage au monde (21).

Tous ces résultats proviennent de la théorie de l’islam. Aucun n’est surprenant. Selon l’islam, une femme n’a de valeur qu’en ayant des enfants et en faisant plaisir à son mari.


Synthèse

Eléments comparés :
Pays musulmans / Pays non-musulmans

Nombre de brevets au cours des 20 dernières années :
Arabie Saoudite : 171 / Corée du sud : 16 328

Pourcentage du PNB consacré à la recherche :
Etats arabes : 0,2% / Suède : 3,1%

Nombre d’articles scientifiques fréquemment cités par million d’habitants :
Arabie Saoudite : 0,07 / Suisse : 79,9

Part des livres consacrés à la religion :
Monde arabe : 17% / Monde entier : 5%

Nombre de livres traduits :
10 000 livres traduits en arabe en 1 200 ans /10 000 livres traduits en espagnol par l’Espagne par an

Nombre de publications scientifiques /10 millions d’habitants :
Pays arabes : 0,1 / Pays industrialisés : 6

Mesure des droits civils et politiques :
Pays arabes : - 1,2 / Amérique du nord : 1,3

HDI gradué de 0 (meilleur) à 100 (pire) :
Pays arabes : 75 / Amérique du nord : 8

Score de liberté gradué de 0 (pire) à 1 (meilleur) :
Pays arabes : 0,15 / Amérique du nord : 0,9


Conclusion

Il n’existe aucun domaine connu et mesurable de la civilisation où les Arabes ne se classent pas derniers ou presque. Il y a à cela une bonne raison : l’islam. La doctrine civilisationnelle de l’islam s’occupe de tout. Le système éducatif qui crée l’ignorance, le défaut de créativité, l’étroitesse de vue et les préjugés, est fondé sur l’islam. La doctrine religieuse islamique enseigne la soumission totale à la doctrine. Se soumettre totalement, c’est apprendre par cœur. Les hadith interdisent la remise en question. La doctrine enseigne que non seulement l’islam a raison sur tout, mais encore que l’islam est la seule chose qui importe et que les koufar ont tort sur tout et sont détestés par Allah. L’enseignement donné par les koufar doit être évité et se limite essentiellement à la technologie.

La doctrine politique islamique repose sur une masse de gens qui en sont esclaves. L’esclave est le citoyen idéal. La Sunna montre que Mahomet est parvenu au pouvoir par l’épée et qu’il a été un chef absolu. Sur les milliers de pages de doctrine qui enseignent l’obéissance absolue au chef, Mahomet, moins d’une page présente un exemple de démocratie où il consulte d’autres personnes sur des décisions. Mahomet parlait, et tous obéissaient.

Source : The Fruit of Islam, Bill Warner, Political Islam, 15 septembre 2009 (Traduction par Bivouac-ID en collaboration avec Poste de veille)

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(1) Coran 2:143 Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes. Et aussi Nous avons fait de vous une communauté de justes pour que vous soyez témoins aux gens, comme le Messager sera témoin à vous.
(2) Arab Human Development Report 2003: Building a Knowledge Society, UN Publications, 2003, pg. 46.
(3) Arab Human Development Report 2003: Building a Knowledge Society, UN Publications, 2003, pg. 51.
(4) Arab Human Development Report 2003: Building a Knowledge Society, UN Publications, 2003, pg. 53.
(5) Arab Human Development Report 2003: Building a Knowledge Society, UN Publications, 2003, pg. 71.
(6) Arab Human Development Report 2003: Building a Knowledge Society, UN Publications, 2003, pg. 73.
(7) Arab Human Development Report 2002, Towards Arab Human Development, UN Publications, 2002, pg. 67.
(8) Arab Human Development Report 2003: Building a Knowledge Society, UN Publications, 2003, pg. 67.
(9) Arab Human Development Report 2003: Building a Knowledge Society, UN Publications, 2003, pg. 78.
(10) Arab Human Development Report 2004, Towards Freedom in the Arab World, UN Publications, 2005, pg. 139.
(11) Arab Human Development Report 2004, Towards Freedom in the Arab World, UN Publications, 2005, pg. 140.
(12) Arab Human Development Report 2004, Towards Freedom in the Arab World, UN Publications, 2005, pg. 140.
(13) Arab Human Development Report 2004, Towards Freedom in the Arab World, UN Publications, 2005, pg. 140.
(14) Arab Human Development Report 2004, Towards Freedom in the Arab World, UN Publications, 2005, pg. 141.
(15) Arab Human Development Report 2004, Towards Freedom in the Arab World, UN Publications, 2005, pg. 141.
(16) Arab Human Development Report 2002, Towards Arab Human Development, UN Publications, 2002, pg. 22.
(17) Arab Human Development Report 2002, Towards Arab Human Development, UN Publications, 2002, pg. 27.
(18) Arab Human Development Report 2005, Towards the Rise of Women in the Arab World, UN Publications, NY, 2006, pg. 74.
(19) Arab Human Development Report 2005, Towards the Rise of Women in the Arab World, UN Publications, NY, 2006, pg. 80.
(20) Arab Human Development Report 2005, Towards the Rise of Women in the Arab World, UN Publications, NY, 2006, pg. 85.
(21) Arab Human Development Report 2005, Towards the Rise of Women in the Arab World, UN Publications, NY, 2006, pg. 95.
Bill Warner