Ce que dit vraiment le Coran - La vraie nature de l'islam - La réalité dans les pays musulmans
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Esclavage arabo-musulman et traite négrière en Afrique depuis le 7ème siècle
Marché aux esclaves au Yémen, 13ème siècle
Au nom du devoir de mémoire, il y a des décennies de travail pour retrouver tous ceux qui, dès le début de l'islam jusqu'à nos jours (?), ont pratiqué l'exploitation et l'éradication des hommes et des femmes d'Afrique si on en croit cet auteur africain :
" Du 7e au 16e siècle, pendant près de mille ans, les Arabo-musulmans ont même été les seuls à pratiquer ce misérable négoce, en déportant près de 10 millions d’Africains, avant l’entrée en scène des Européens. Si la ponction transatlantique a duré de 1660 à 1790 environ, les Arabo-musulmans ont été à l’origine des razzias des peuples noirs et ceux qui ne veulent pas fermer les yeux, savent bien que cela continue encore au Darfour et ailleurs. Les statistiques de cette infamie – du moins celles parvenues jusqu’à nous, car ses acteurs ne tenaient pas de relations écrites au contraire des atlantistes -, sont effarantes.
Ceci bien qu’une partie des sources statistiques de ce crime reste ‘voilée.’ Cette carence m’a conduit, à travailler sur des hypothèses, des récits de griots, des recoupements et des témoignages directs ou indirects d’explorateurs. Cependant l’étude la plus crédible sur le sujet et qui m’a beaucoup servi, est celle de mon confrère américain Ralph Austin. Les travaux de ce chercheur, qui est sans doute le meilleur spécialiste de la question, font autorité. Sans chercher à minimiser le crime des Occidentaux, ses estimations ont été constamment affinées.
Ainsi, nous pouvons estimer les Africains déportés par le Sahara, au nombre de 9 millions 337 000 individus. Dans les régions proches de la mer Rouge et de l’Océan indien, 8 millions d’Africains environ auraient été transférés. On aboutit ainsi à un total de plus de 17 millions d’Africains. Ce chiffre serait même, selon certaines sources, vraisemblablement en deçà de la réalité. Il faudrait le traiter avec une marge d’erreur d’au moins 25 %, sur une période s’étalant du milieu du 7e siècle au 10e siècle".